
Lorsque les marchés ont appris qu’Air Canada n’achèterait finalement pas Air Transat, l’action de cette dernière a chuté de 22% alors que celle du transporteur national gagnait en valeur. Un signe certain que les investisseurs croient que les jours ensoleillés d’Air Transat sont bien derrière elle.
Qu’est-ce que cela signifie pour l’industrie de l’aviation et du tourisme en particulier ? On en parle avec Marc-Antoine Vachon, titulaire de la chaire de tourisme Transat de l’UQAM.